Déconfinement : faire face à l’angoisse
Après deux mois d’isolement, comment faire face aux incertitudes ?
Après deux mois d’isolement, comment faire face aux incertitudes ?
Depuis plusieurs années, les techniques de chirurgie mini-invasives permettent des interventions qui limitent le traumatisme opératoire.
Après plus de 2 mois de confinement, les sportifs aguerris et les athlètes du dimanche vont devoir redémarrer leurs disciplines avec prudence.
La Clinique du Sport et de Chirurgie Orthopédique a mis au point un programme pour ses patients après une pose de prothèse totale de la hanche ou du genou.
Depuis fin 2019, les chirurgiens gynécologues et mammaires de la Clinique des Cèdres, à Cornebarrieu (31), font appel à la chirurgie robotique pour pratiquer certaines interventions.
Malgré la pandémie de Covid-19, les établissements de consultation et de soin ont maintenu les prises en charge. C’est le cas du Centre de Radiothérapie de Bobigny (Île-de-France).
En pleine crise du coronavirus, le groupe a mis au point un accompagnement permettant aux équipes soignantes de faire face aux décès de patients Covid+.
Pour mieux la dépister, un outil d’évaluation du risque de dépression a été mis au point pour les futures et jeunes mères : le questionnaire d’Edimbourg.
Depuis cinq ans, la Clinique de l’Escrebieux utilise la thérapie par la réalité virtuelle (TRV) auprès de ses patients-souffrants de troubles anxieux.
La prostatectomie totale consiste à retirer la prostate des patients atteints de tumeur maligne. Elle intervient lors d’un cancer localisé ou localement avancé de la prostate, cancer le plus courant chez les hommes.
Le Néphropôle est une structure à taille humaine au sein de laquelle chaque patient est suivi par une équipe référente.
Aujourd'hui, les hôpitaux reviennent peu à peu à un fonctionnement normal. Mais qu’en est-il des professionnels ? Comment tourner la page après une période si éprouvante ?
Un panneau recouvert de post-its colorés a été installé dans le hall d’entrée de l’Hôpital privé Drôme Ardèche. Une manière positive de clore ces semaines de crise.
Qu’en est-il lorsqu’une personne, guérie du Covid-19, retourne chez elle ? Le quotidien peut-il reprendre comme avant ? Beaucoup de patients ont des difficultés à retrouver un nouveau souffle.
Suite à l’appel au volontariat lancé par le groupe Ramsay Santé, Anne Larose, Infirmière de bloc à l’Hôpital privé de Bois-Bernard s’est portée volontaire pour prêter main forte à ses collègues de l'Hôpital privé de la Seine Saint-Denis.
En pleine crise sanitaire, hôpitaux et cliniques accueillent sans relâche les patients touchés par le coronavirus. Mais quelle est la situation dans les structures spécialisées en santé mentale ?
Depuis le début de la crise sanitaire, pour accompagner au mieux les soignants, mais aussi les patients et leurs familles, certains établissements ont formé des « cellules éthiques ».
L'exemple de l'Hôpital privé Jacques Cartier, à Massy (91), qui fait partie de ces établissements privés sollicités.
Ne pas reporter ses démarches de soin impérieuses, même en temps de pandémie : c’est le message que les urgences souhaitent faire passer.
Catherine nous raconte son expérience au sein d’un service Covid+.