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En tant qu’entreprise à mission, Ramsay Santé a fait de la prévention des risques liés au travail un véritable pilier de sa politique RH. Le 29 juin 2022, le Groupe a ainsi signé un accord QVCT instaurant une gouvernance dédiée à la mise en place d’actions de prévention santé, de sécurité mais aussi d’amélioration des conditions de travail pour l’ensemble des collaborateurs.

Dans ce contexte, une démarche a été pensée autour de 4 axes principaux :

• La préservation de la santé et de la sécurité des collaborateurs du groupe 
• La construction d’une culture managériale commune axée sur la prévention, la santé et la sécurité au travail 
• La possibilité pour les collaborateurs de devenir acteurs de leur propre santé et sécurité au travail 
• Le partage et la diffusion des bonnes pratiques issues des établissements en matière de prévention des risques professionnels.

Une équipe de coordinateurs santé et sécurité au sein de chaque pôle territorial Ramsay Santé

Depuis la signature de cet accord, le Groupe a déjà recruté 4 coordinateurs santé et sécurité au travail pour ses pôles territoriaux : Nicolas Muyllaert (Lille & Artois), Hélène Guerlain (Loire et Drôme), Anne Raspaud (Toulouse) et Adeline Defrance (IDF Sud-Est). 

Leurs missions : travailler collectivement sur les bonnes pratiques à adopter, mener des pistes de réflexion sur l’amélioration des risques liés au travail, et impulser cette dynamique collective de prévention et d’amélioration continue auprès de l’ensemble des collaborateurs. « Le recrutement de coordinateurs santé et sécurité au travail a vocation à s’étendre à l’ensemble des pôles Ramsay Santé » précise Arnaud Mercier-Pageyral.

L’émergence de nouvelles propositions d’actions de prévention

Pour sensibiliser l’ensemble des professionnels médicaux et paramédicaux à la culture de la prévention, de la santé et de la sécurité au travail et ainsi lutter contre la sinistralité des accidents du travail (AT), les maladies professionnelles (MP), les troubles musculosquelettiques (TMS) et les risques professionnels, les coordinateurs ont travaillé à la mise en place d’actions concrètes au sein de leurs établissements. Parmi elles : 

• Le déploiement dans chaque établissement d’« Acciline », un outil de pilotage de gestion des risques professionnels et de la sinistralité visant à déclarer les maladies professionnelles et à récolter des Indicateurs précis à l’échelle du Groupe (nature et volumétrie) pour définir des plans d’actions adaptés ;
   
• La mise en place, avec la Direction de la pharmacie centrale, d’un groupe de travail sur la fabrication de poches de chimiothérapie, propice aux risques de troubles musculosquelettiques et chimiques, pour identifier le matériel le plus adapté pour réduire ces risques ;      
   
• La formation d’animateurs prévention santé et sécurité au sein des établissements (soignants et non soignants) pour une meilleure analyse de l’ergonomie des situations de travail à des fins de réduction de la pénibilité engendrée par le contact physique avec les patients.

« Notre politique volontariste en matière de sécurité et de santé au travail a commencé par une première phase d’analyse durant laquelle nous nous sommes dotés d’un système d’information nous permettant d’avoir une vision précise de notre sinistralité. Nous avons dorénavant la volonté de décliner des plans d’actions et de prévention pertinents et adaptés pour réduire les risques des collaborateurs et améliorer leurs conditions de travail » ajoute Thierry Boisseron.