Actualités
Les Pères Noël verts de la Clinique Marcel Sembat
le 21/12/2020
À l’Institut de l’Enfant de la Clinique Marcel Sembat (Boulogne-Billancourt, Île-de-France), les équipes s’affairent pour préparer les fêtes. Pour offrir aux enfants les plus modestes le droit de fêter Noël, une collecte de jouets est organisée en partenariat avec les Pères Noël verts du Secours populaire. Une cagnotte a également été mise en ligne.
Cette action a été mise en place sous l’impulsion de la Fondation d'entreprise Ramsay Santé, qui a souhaité s’investir dans la collecte de dons pour permettre à toutes les familles de profiter de la magie de Noël.
Redonner le sourire aux enfants… et aux adultes
Grâce à ses Pères Noël verts, le Secours populaire français permet depuis 1976 à des familles en situation de précarité de fêter Noël grâce aux dons de cadeaux neufs recueillis dans les entreprises et collectivités. En plus des dons récoltés, l’association offre également aux familles en difficulté des places de concert ou de spectacle, leur permet de participer à des activités ou encore de se rendre au restaurant.
Le 17 novembre, une hotte géante a été installée à l’accueil des consultations de la Clinique Marcel Sembat pour que soignants et patients qui le souhaitent puissent y déposer leurs dons. « L’association a disséminé 300 hottes dans différentes structures aux quatre coins de l’Île-de-France. Cette année, l’objectif visé est de 15 000 cadeaux ! » explique Anaëlle Bregeon, responsable qualité et gestion des risques à l’Institut de l’enfant. Une cagnotte Hello asso, sponsorisée par l’Institut de l'enfant a également été créée pour financer les différentes actions prévues par le Secours populaire français des Hauts-de-Seine.
À la Clinique Marcel Sembat, la hotte a accueilli les cadeaux jusqu’au 7 décembre. « En cette année difficile, particulièrement pour les populations les plus précaires, les fêtes de fin d’année sont l’occasion de retrouver un peu de magie et de convivialité. Grâce à ces petites actions, nous voulions faire en sorte que Noël n’oublie personne », conclut Anaëlle Bregeon.