Actualités

Ancien interne à la Fondation ophtalmologique Rothschild et ancien assistant au Centre hospitalier national des Quinze-Vingts, le Dr Pierre-Maxime Lévêque est, entre autres, spécialisé en chirurgie palpébrale (qui concerne la paupière) et des voies lacrymales ainsi qu’en chirurgie réfractive (voir plus bas). Installé à la Clinique de Domont depuis avril dernier, il revient sur chacune de ses spécialités et sur ses projets.

 

De la chirurgie de la cataracte à la chirurgie palpébrale

 

Le Dr Pierre-Maxime Lévêque possède plusieurs cordes à son arc. La chirurgie de la cataracte en est une. Cette maladie de l’œil liée à l’âge se traduit par une opacification du cristallin. « La vision devient de plus en plus trouble et invalidante, avec l’apparition d’un voile blanc dans le champ de vision. La chirurgie permet de remplacer le cristallin par une lentille artificielle qui peut, au passage, corriger également des problèmes de vision préexistants, comme la myopie, mais aussi l’hypermétropie, l’astigmatisme, voire la presbytie », explique le Dr Lévêque.

 

L’ophtalmologue propose également de la chirurgie palpébrale, que ce soit pour des raisons d’ordre fonctionnel ou esthétique. « Les patients peuvent consulter pour un problème de paupières tombantes ou qui présentent des lésions à réparer. Je prends aussi en charge la chirurgie du larmoiement, et toutes les pathologies qui touchent au canal lacrymal », ajoute le médecin.

 

Développer l’activité du service

 

Parmi les spécialités du Dr Lévêque, figure également la chirurgie réfractive, qui concerne l’ensemble des interventions ayant pour objectif de corriger les défauts de la vue, tels la myopie, l’hypermétropie, l’astigmatisme et la presbytie, à l’aide d’un laser. « C’est une prise en charge que j’espère pouvoir offrir aux patients de la clinique dans les mois à venir », précise l’ophtalmologue.

 

Avec une forte expertise chirurgicale, le Dr Lévêque souhaite étoffer l’offre de soins aux côtés de ses collègues ophtalmologues. « Notre objectif est de développer l’activité chirurgicale et de prendre en charge un nombre croissant de patients au sein d’un lieu accueillant », conclut-il.